A Forum for Vigorous Debate, Cornerstone of Democracy
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A FORUM FOR FREEDOM OF SPEECH AND VIGOROUS DEBATE, CORNERSTONES OF DEMOCRACY
[For the journal--guidelines, focus, etc.--go to www.theamericandissident.org. If you have questions, please contact me at todslone@hotmail.com. Comments are NOT moderated (i.e., CENSORED)!]
Encouraged censorship and self-censorship seem to have become popular in America today. Those who censor others, not just self, tend to favor the term "moderate," as opposed to "censor" and "moderation" to "censorship." But that doesn't change what they do. They still act as Little Caesars or Big Brother protectors of the thin-skinned. Democracy, however, demands a tough populace, not so easily offended. On this blog, and to buck the trend of censorship, banning, and ostracizing, comments are NEVER "moderated." Rarely (almost NEVER) do the targets of these blog entries respond in an effort to defend themselves with cogent counter-argumentation. This blog is testimony to how little academics, poets, critics, newspaper editors, cartoonists, political hacks, cultural council apparatchiks, librarians et al appreciate VIGOROUS DEBATE, cornerstone of democracy. Clearly, far too many of them could likely prosper just fine in places like communist China and Cuba or Saudi Arabia, Qatar, and Russia, not to mention Sweden, England, and Austria.
ISSUE #47 PUBLISHED MAY 2024. NOW SEEKING SUBMISSIONS FOR ISSUE #48.
More P. Maudit cartoons (and essays) at Global Free Press: http://www.globalfreepress.org
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Thursday, January 7, 2021
Wednesday, June 3, 2020
Mathieu Bock-Côté
Le Silence des journaleux
Le Rejet de la critique non-approuvée
From: George Slone
Sent: Thursday, May 28, 2020 1:25 PM
To: mathieu.bock-cote@quebecormedia.com
Subject: L'essai recent de M. Bock-Cote...
Salut Mathieu Bock-Cote, Chroniqueur du Journal de Montreal:
Ci-dessous est un contre-essai que j’ai ecrit vis-a-vis de ton article recent. Publie-le dans le Journal de Montreal en tant que temoin de ton ouverture inhabituelle a la critique…
Au plaisir,
G. Tod Slone (PhD—Université de Nantes, FR), aka P. Maudit, Founding Editor (1998)
The American Dissident, a 501c3 Nonprofit Journal of Literature, Democracy, and Dissidence
www.theamericandissident.org
wwwtheamericandissidentorg.blogspot.com
todslone@hotmail.com
217 Commerce Rd.
Barnstable, MA 02630
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Une idée qui ne mène pas le monde… des artistes et poètes
Une ministre de la culture ! C’est le visage de la fonctionnaire gouvernementale souriante de Nathalie Roy qui m’a provoqué d’écrire la critique suivante. Qu’est-ce qui se passe quand le Gouvernement se proclame Chef de la Culture et donc contrôle la culture par la distribution de piasses ? Et qui (quels poètes ? quels artistes ?) ne reçoit pas inévitablement de piasses gouvernementales (subventions, bourses, invitations) ? La distribution de l’argent sert comme véritable outil de censure. Pourquoi les journalistes ne posent pas ces questions ?
Mon expérience comme poète invité au Québec témoigne tristement que les artistes et les poètes québécois sont dans le casier à homard gouvernemental. Sinon, pourquoi j’ai été, au Festival de la Poésie de Trois-Rivières, le seul poète parmi les 150 invités qui osait critiquer les gardiens de la poésie (les organisateurs Bellemare et cie) et leur prohibition de débattre la poésie au Festi ? Incroyable ce décret, n’est-ce pas ? Et pas un seul poète rémunéré par le Gouvernement osait me joindre pour insister sur le débat et surtout sur la liberté de l’expression au Festi ! Evidemment, on ne m’a jamais réinvité ! Et Le Nouvelliste refusait de faire un petit reportage là-dessus !
Evidemment, Il existe une machine littéraire bien subventionnée par le Gouvernement, et les poètes et les artistes n’osent pas la questionner ouvertement ni surtout la mettre au défi ! Et cela constitute le problème fondamental qui confronte la culture au Québec, le problème que les journalistes n’osent pas poser.
Dans son article, “Soutenir les artistes, soutenir la culture,” Mathieu Bock-Côté écrit: “Disons les choses clairement : la culture n’est pas qu’un divertissement et il ne s’agit pas d’un secteur secondaire de l’économie. Quelle que soit la manière dont on chiffre ses bénéfices, elle a une fonction vitale. Une formule un peu usée résume bien la chose : la culture, c’est l’âme d’un peuple.”
Mais quand l’âme d’un peuple est bien contrôlée par le Gouvernement, la culture devient l’âme du Gouvernement comme c’est le cas en Chine et au Cuba… et tristement au Québec itou ! Au Cape Cod, où j’habite, l’état de la culture est peut-être même pire qu’au Québec. C’est la Chambre de Commerce qui contrôle la culture. C’est le tourisme qui détermine quel art sera soutenu et quel art sera mis dans les oubliettes. En vain sans doute, je continue depuis des lustres à critiquer ouvertement cette situation déplorable y compris le tas de poètes et artistes qui l’acceptent et y participent. Un exemple de l’inanité qui résulte inévitablement du contrôle gouvernemental c’est le concours présent du Centre de Culture de Cape Cod—et c’est pas pantoute une blague—UPLIFTING ART FOR ELEVATOR DOORS 2020 (de l’art positif pour être affiché sur les portes de l’ascenseur).
Bock-Côté écrit: “À travers une chanson, un film, une série télé, on ne se contente pas de s’évader. On se découvre comme société. En écrivant cela, je n’oublie pas la montée de l’insignifiance, je n’oublie pas notre américanisation mentale. Mais les Québécois, sans toujours s’en rendre compte, y résistent. Ils ont besoin de se raconter eux-mêmes leur expérience du monde, sans se contenter de produits d’importation traduits.”
Mais tristement les Québécois ne luttent pas contre le contrôle de la culture par leur propre gouvernement. Bock-Côté conclut: “Si le secteur de la culture en venait à s’effondrer vraiment, c’est une des fonctions vitales de la société québécoise qui serait touchée. De ce point de vue, le gouvernement du Québec doit être plus ambitieux et ne pas se contenter de demi-mesures qui lui donnent un air pâlot, faible, impuissant. Ottawa ne doit pas mettre la patte non plus sur ce domaine.” Malheureusement ce journaliste ne semble pas capable de poser les questions que je pose icitte. C’est le conflit éternel du boulot et la vérité crue ! Au contraire, Bock-Côté embrasse le contrôle du gouvernement du Québec sur la culture. Or quand les politicards contrôlent la culture (la poésie, l’art), ils délimitent inévitablement la liberté de l’expression et donc la culture elle-même. Alors, soutenir quels artistes ? Soutenir quelle culture ? Les artistes qui osent critiquer ouvertement la culture de l’Etat ? C’est une question impensable pour les artistes et poètes de l’Etat ! Enfin, la subvention gouvernementale des poètes et artistes est une mauvaise idée…
Thursday, August 24, 2017
Hadrien Chénier-Marais
Liberté d'expression—Frapper ou ne pas frapper… et qui frapper quand on frappe?
To understand America's crises today, one must first understand what has happened to two institutions: the university and the news media. They do not regard their mission as educating and informing but indoctrinating. [Pour comprendre les crises en Amérique aujourd’hui, il faut tout d’abord comprendre ce qui s’est passé dans deux institutions: l’université et la presse. Ils ne considèrent leur mission d’instruire et d’informer mais plutôt d’endoctriner.]
—Dennis Prager
Le titre d’un article dans Le Devoir, “Liberté d'expression — Est-ce correct de frapper un nazi?,” a attiré mon attention car il me parait un tantinet aberrant puisque la réponse à la question est archi-évidente. Un meilleur et plus honnête titre, bien que moins politiquement correct, aurait été: Est-ce correct de silencer (censurer/bannir) les opinions qu’on n’aime pas? Et donc cela pourrait inclure non seulement le nazisme, mais également le communisme, le socialisme, et surtout l’islamisme. C’est-à-dire la gauche.
L’auteur de l’article, Hadrien Chénier-Marais, candidat à la maîtrise, Département de science politique, Université de Montréal, témoigne d’un manque d’objectivité sinon d’une certaine indoctrination universitaire anti-droite, pro-gauche. Il écrit correctement que “la plupart des sociétés occidentales ont limité celle-ci [la liberté d’expression] en excluant certains types de discours, tels les discours haineux ou incitant à la haine.” MAIS cela ne veut pas dire que c’est donc forcément bien. Pourquoi pas? Parce qu’en toute évidence “haineux” et “haine” sont deux termes archi-subjectifs et donc faciles à appliquer à quasiment n’importe quoi. Si, par exemple, on cite un fait, on pourrait être arrêté, ce qui s’est passé à Paul Weston, qui a simplement cité Winston Churchill vis-à-vis de l’Islam. On pourrait également être arrêté sous la guise de discours haineux, si on critique, par exemple, la politique d’immigration d’un gouvernement, moyennant l’évocation de faits qui contredisent cette politique.
L’auteur aurait dû quand-même noter que les Etats-Unis constitue une société occidentale importante qui n’a pas adoptée de la législation anti-haine du fait de ce problème de subjectivité. Il stipule que “Cependant, les autorités n’ont pas tendance à punir certains groupes usant de ces rhétoriques…” Et pourtant la liste des gens qui ont été punis d’une façon ou d’autre est importante et comprend, à part Paul Weston, Geert Wilders, Robert Spencer et Pam Geller (interdits en Grande-Bretagne), Sébastien Jallamion, Ezra Levant, Mark Stein, Dan Park, John Salvesen, etc. Un peu de recherche sur internet révélera sans doute d’autres. Il faut des statistiques à cet égard!
L’auteur manque d’objectivité car il note la présence de nazis à Charlottesville, mais ne dit rien sur celle d’Antifa et sa violence. Il cite “le néonazisme, le suprémacisme blanc et d’autres mouvements de ce type,” mais reste silent vis-à-vis du suprémacisme noir (Nation d’Islam, Panthères Noirs, BLM) et celle de l’islamisme, ainsi qu’Antifa. Il y a aussi un certain mouvement anti-blasphématoire vis-à-vis de l’Islam (i.e., anti-liberté d’expression) qui semble être en voie d’augmentation au Québec et dans le reste du Canada.
L’auteur conclut avec les deux possibles réponses à la question présentée: oui et non. Mais pourquoi ne pas rajouter au nom de l’objectivité: “alors, est-ce correct de frapper un nazi ou un islamiste? Est-ce correct de frapper un communiste ou socialiste ou antifasciste?” Finalement, l’auteur devrait sortir de son “safe space” idéologique pour vraiment chercher la vérité. Recevra-t-il cette suggestion à l’université? Malheureusement, il ne la recevra pas dans les pages du Devoir car, dans l’esprit d’anti-liberté d’expression, ce journal ne permet que les abonnés commentent les articles…
—Dennis Prager
Le titre d’un article dans Le Devoir, “Liberté d'expression — Est-ce correct de frapper un nazi?,” a attiré mon attention car il me parait un tantinet aberrant puisque la réponse à la question est archi-évidente. Un meilleur et plus honnête titre, bien que moins politiquement correct, aurait été: Est-ce correct de silencer (censurer/bannir) les opinions qu’on n’aime pas? Et donc cela pourrait inclure non seulement le nazisme, mais également le communisme, le socialisme, et surtout l’islamisme. C’est-à-dire la gauche.
L’auteur de l’article, Hadrien Chénier-Marais, candidat à la maîtrise, Département de science politique, Université de Montréal, témoigne d’un manque d’objectivité sinon d’une certaine indoctrination universitaire anti-droite, pro-gauche. Il écrit correctement que “la plupart des sociétés occidentales ont limité celle-ci [la liberté d’expression] en excluant certains types de discours, tels les discours haineux ou incitant à la haine.” MAIS cela ne veut pas dire que c’est donc forcément bien. Pourquoi pas? Parce qu’en toute évidence “haineux” et “haine” sont deux termes archi-subjectifs et donc faciles à appliquer à quasiment n’importe quoi. Si, par exemple, on cite un fait, on pourrait être arrêté, ce qui s’est passé à Paul Weston, qui a simplement cité Winston Churchill vis-à-vis de l’Islam. On pourrait également être arrêté sous la guise de discours haineux, si on critique, par exemple, la politique d’immigration d’un gouvernement, moyennant l’évocation de faits qui contredisent cette politique.
L’auteur aurait dû quand-même noter que les Etats-Unis constitue une société occidentale importante qui n’a pas adoptée de la législation anti-haine du fait de ce problème de subjectivité. Il stipule que “Cependant, les autorités n’ont pas tendance à punir certains groupes usant de ces rhétoriques…” Et pourtant la liste des gens qui ont été punis d’une façon ou d’autre est importante et comprend, à part Paul Weston, Geert Wilders, Robert Spencer et Pam Geller (interdits en Grande-Bretagne), Sébastien Jallamion, Ezra Levant, Mark Stein, Dan Park, John Salvesen, etc. Un peu de recherche sur internet révélera sans doute d’autres. Il faut des statistiques à cet égard!
L’auteur manque d’objectivité car il note la présence de nazis à Charlottesville, mais ne dit rien sur celle d’Antifa et sa violence. Il cite “le néonazisme, le suprémacisme blanc et d’autres mouvements de ce type,” mais reste silent vis-à-vis du suprémacisme noir (Nation d’Islam, Panthères Noirs, BLM) et celle de l’islamisme, ainsi qu’Antifa. Il y a aussi un certain mouvement anti-blasphématoire vis-à-vis de l’Islam (i.e., anti-liberté d’expression) qui semble être en voie d’augmentation au Québec et dans le reste du Canada.
L’auteur conclut avec les deux possibles réponses à la question présentée: oui et non. Mais pourquoi ne pas rajouter au nom de l’objectivité: “alors, est-ce correct de frapper un nazi ou un islamiste? Est-ce correct de frapper un communiste ou socialiste ou antifasciste?” Finalement, l’auteur devrait sortir de son “safe space” idéologique pour vraiment chercher la vérité. Recevra-t-il cette suggestion à l’université? Malheureusement, il ne la recevra pas dans les pages du Devoir car, dans l’esprit d’anti-liberté d’expression, ce journal ne permet que les abonnés commentent les articles…
Thursday, January 15, 2015
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